lundi 10 décembre 2012

Mes petites découvertes - Bruxelles, rue du Bailli (21-10-2012)


Mes petites découvertes - Bruxelles, rue du Bailli

Home sweet home... Alors que je me promettais de ramener de Farmabeurs une foison d'anecdotes et bien je rentre les poches vides. J'ai été d'une sobriété souveraine, professionnelle jusqu'au bout des ongles. Oh, j'ai bien confondu une pharmacienne avec une autre. La pauvre se demandait d'ailleurs ce que je lui voulais avec mes vernis alors que, très manifestement, elle n'a certainement jamais vu un mascara de près (ni même un dentiste à mon avis).

Je suis d'une sobriété étonnante depuis peu aussi du côté de mon portefeuille. Alors que je commençais à menacer dangereusement l'équilibre financier de mon ménage, j'ai pris une ferme résolution : haro sur les dépenses intempestives ! Et donc il y a quelques mois encore, la découverte d'un magasin comme celui de la photo aurait fait trembler ma carte de banque comme un Romain devant Obelix (vous l'avez noté comment mon blog colle à l'actualité ? Trop fort).

Tout ce que j'aime (tiens, des fleurs. Oh comme c'est étonnant) : vaisselle, déco, bijoux et plein d'"objets inutiles et donc rigoureusement indispensables" (Sic).

Mes petites découvertes - Bruxelles, rue du Bailli

Mes petites découvertes - Bruxelles, rue du Bailli
 Il y a quelques mois encore, j'en aurais rempli un plein panier. Au lieu de cela, j'avance à présent indifférente, hiératique même, effleurant de-ci de-là ces jolies choses (me sentant tout de même un peu - à cause de mon grand sac bien entendu - comme je ne sais plus trop quoi dans un magasin de porcelaine).

Je dédaigne (je suis décidément bien peu tolérante) les clients avides de consommation qui font la file à la caisse, les bras chargés d'achats que je n'aurais pas reniés en son temps. Non, désormais je ne dépense plus. J'alimente mon blog. Je prends des photos tout à fait discrètement avec mon iPad vert pomme (et de glisser subtilement que j'ai ce merveilleux petit engin grâce auquel mon blog a vu le jour. À quoi ça tient !).


Aux yeux parfois suspicieux des vendeuses, j'affiche l'assurance et l'air entendu d'une journaliste qui serait en repérage pour un reportage déco sur Bruxelles (c'est la parade que j'aurais espéré sortir mais personne n'a eu la bonne idée de me demander à quoi rimait mon petit manège).

Bref, je suis ressortie très satisfaite de toutes les économies que je venais de réaliser et surtout avec le premier chapitre de mes petites découvertes en Wallonie et à Bruxelles. Sobre je vous disais....

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