mercredi 9 janvier 2013

Et c'est reparti pour un tour !


Au risque de transformer mon blog en jeu de piste, rendez-vous maintenant sur
akwasatien.overblog.com

Déjà merci pour votre patience et votre fidélité (enfin j'espère...) !

mardi 8 janvier 2013

Blancheur en ma demeure

Je ne saurais trop dire comment c'est arrivé au juste. Avec l'arrivée de la deuxième version de mon blog, j'avais déjà ressenti quelques soubresauts de sobriété, bien vite effacés par l'arrivée des fêtes et de mes envies d'intérieur Norman Rockwellien.

Et voilà qu'après avoir remisé tout dans les boîtes (et le gagnant du concours cette année du "qu'a-t-on oublié de retirer et qu'on va mettre dans un tiroir jusque l'année prochaine ?" est : le petit Jésus. Déjà il n'avait pas de crèche le pauvre petiot mais en plus on n'a pas pensé à l'exposer le 25 et il est resté comme un petit malheureux sur une étagère. Et après ça, je chicane sur la tradition de la fève de l'épiphanie), je vous laisse respirer, et voilà qu'après etc, et avant de remettre en place toute la déco habituelle, nous nous retrouvons dans une maison si ordonnée, si paisible, si épurée, si comment dire... étrange ? Oui, étrange. Nous ne sommes pas habitués à un tel dépouillement.

Vindjû, ça fait du bien. Mon petit livre de Feng Shui ne le dira jamais assez : intérieur rangé, esprit apaisé.

Vu qu'on parle Feng Shui (enfin vu que je vous impose ça ce soir), je me permets une digression importante. J'ai retrouvé ce précieux petit ouvrage qui dormait depuis six ans dans le grenier de la Grand-Mère (oui, oui, celle au jabot) et j'ai de suite plongé sur cet article que je me permets de retranscrire ici à l'attention de mes amies (et peut-être followers) célibataires :
Trouvez un partenaire
"Si vous en avez assez de la solitude, dynamisez votre coin sud-ouest en y plaçant une lampe à pied de 1,50 mètres de haut pour soutirer l'énergie de la terre. Gardez cette lampe allumée tous les soirs jusqu'à ce que vous ayez atteint votre but".
Ca vaut ce que ça vaut mais je me devais de partager ce secret avec vous. J'ai pour ma part expérimenté le conseil et, mis à part le fait que j'ai explosé ma facture d'électricité, mon Cher et Tendre est entré dans ma vie après deux mois d'éclairage intensif du coin sud-ouest de mon salon (j'ai peut-être encore une boussole si quelqu'un en a besoin).

Me voici donc à nouveau assaillie par des envies de sobre et d'épuré. C'est animée par cet état d'esprit que, pour la première fois de ma vie, j'ai acheté du blanc pour ma maison...


Bon, je ne crie pas à révolution, ce n'est jamais qu'un abat-jour mais quand même, je suis passée sans un regard pour les fleurs et les couleurs (c'est d'un ordinaire !) et je n'ai pas hésité une seconde. J'ai pris le blanc. Pas le sable, pas le blanc cassé, pas le grège. Le blanc. Tout net. J'écris, je le regarde, j'écris, je le regarde. Je me demande si je suis chez moi. Il me faut un certain temps d'acclimatation (je n'ai pas encore retiré le film plastique d'ailleurs, au cas où...)

Oui, je crois que j'entre dans une nouvelle ère... 

Je vois blanc, je respire blanc, je m'habille blanc.


J'ai même ressorti mon pantalon blanc. Oui, ce petit flocon dans la grisaille, c'est môa !
Bon, le vert de ma blouse est beaucoup plus lumineux en vrai hein. Savez-vous que le vert porte chance ? Imaginez si mes épinards étaient tombés sur mon pantalon plutôt que sur ma blouse ? Hein ? 

PS : spécialement pour l'oeil affûté de Chris B. Tu auras beau la chercher, tu ne trouveras pas la tache (je la dissimule. Je te connais trop bien !)

lundi 7 janvier 2013

Femme à jabot


J'ai découvert hier d'où me venait cette - très - légère tendance à me diriger vers la fourrure et les paillettes. Aujourd'hui, me voici devant un nouveau questionnement : pourquoi cet amour du jabot ? Difficile de passer à côt de celui-ci, seul sur son cintre, dans ma taille, en vert et à -50%.  Vous connaissez mon petit coeur sensible.

Ah le jabot... Un jabot, et tout de suite, vous voilà habillée. Enfin je trouve (et sous une redingote, je vous dis pas). Et puis, ce petit côté avocat de la cour, ça intimide son interlocuteur (si, si on avait rendez-vous. Vous avez certainement oublié de le noter. Bon, alors, combien de poudres à paillettes ?). Plus ça froufroute et plus ça me plaît. Et si en plus il y a un peu de dentelle...
Bon ici, le jabot est tout simple mais il fait tout son effet. Faut juste voir comment il se comportera sans passer par la case repassage. Car c'est le défaut du jabot. Il réclame généralement l'engin infernal.

Je l'ai pourtant un moment renié tout à l'heure. Moi qui suis toujours si sûre de mes achats, j'ai comme été refroidie quand je l'ai montré fièrement à la Grand-Mère.
"Zavez-vu mon acquisition ?"
"Oh, c'est joli. Mais... c'est la même blouse que moi !"
"Pardon ?" (température de la voix qui  tombe sous zéro degrés)
"Mais oui, j'ai la même en bleu"
"Ah ça, ça m'étonnerait" (c'est bon lâche le morceau. Laisse-lui croire que ça existe au-delà du xl)
"Mais oui, je l'ai eue pour ma fête des mères"
"Je ne crois pas que c'est la même vous savez (que tu es puérile ma fille)
"Laissez-moi un peu toucher la matière... Si, si c'est la même !"
"Bon bein c'est pas tout ça mais j'ai un souper à préparer moi. Allez à demain"

Bien sûr qu'elle se trompe. Mais juste qu'elle s'imagine avoir la même blouse que moi ça me fout un peu les boules.

Qu'à cela ne tienne, je prends 5 minutes pour me calmer en grommelant dans ma barbe me livrer à une de mes activités favorites (ouaille) : réhabiliter des objets de la maison. J'aime bien acheter de nouvelles choses mais j'adore aussi utiliser ce que j'ai pour renouveler la déco (je suis une fille tout simple).

Et donc comment recycler la Rose de Noël ? En la mariant avec le thym pardi ! (qui a dit que ça n'allait pas ensemble ?). Et hop, que revivent mes cache-pot vache qui traînaient sur une armoire.


Attention, je suis susceptible aujourd'hui. Gare à celui qui se mêlera de critiquer mon arrière-plan.

Je vais t'en donner moi, la même blouse. Non mais faudrait bien qu'elle change de lunettes. Qu'est-ce qu'elle s'imagine ? Non mais allez quoi, gnagnagnagnagnagna...

C'est donc ça !




Premier dimanche de janvier,
Fêtons les Rois comme il se doit,
On n'a pas encore assez mangé
On la veut notre crise de foie

C'est que je l'aime moi cette tradition de l'épiphanie. Même que je choisis trèèèès soigneusement ma galette des Rois car ce que je veux surtout, c'est une elle "fève". Je dirais même plus : qu'importe la frangipane pourvu qu'on aie une jolie fève. C'est que j'ai déjà connu d'amères déceptions. Non mais quelle idée aussi d'aller fourrer une Betty Boop dans une galette des Rois ! Et ceux du Pain Quotidien qui vont jusqu'à aller mettre un logo. Respectons un peu les traditions que diable !

 
 
Donc, désormais vigilante, j'entre dans les boulangeries et je pose clairement la question :
"Bonjour Madâââââme, ce sont bien des santons dans vos galettes des Rois ? Oui, vous comprenez, c'est parce-que la grand-mère de mon compagnon fait la collection et vous savez bien hein, à cet âge-là, les petites manies ont la vie dure hein madâââââme".

Bein oui, je collectionne les fèves depuis que j'ai mes fils. Bon, il en manque deux vu que j'en ai paumé une et cassé une autre (un ridicule oiseau d'un film de Disney. Encore une boulangerie hérétique).

Et pourtant...
"J'adore ces petites santons mais je n'ai jamais eu la chance de tomber dessus quand on faisait la galette des Rois chez moi ou à l'école"
"Ah bon ?"
"Oui, du coup je n'ai jamais eu la couronne"
"..."
"Je suis la benjamine d'une fraterie de trois enfants alors mes parents ne pouvaient pas tricher. On la voulait tous".
"Bein oui"
"Et même maintenant, avec mes enfants, même si je fais ça complètement au hasard, j'ai pas de chance. Parfois je la vois quand je coupe les parts mais je ne peux quand même pas prendre ce morceau là, ça ne serait pas chic"
"Bein non"
"C'est que je suis une Mère Parfaite vous savez..."
"je comprends"
"Je les aime bien moi ces couronnes dorées pourtant"
"Bein oui"
"C'est peut-être à cause de cette frustration que je suis maintenant tellement attirée par la fourrure et les paillettes !"
"Ah..."
"Mais oui !!!! Voilà ! C'est la faute à la galette !
"Mmmhhh"
"Oh bein me voilà soulagée ! Je comprends enfin mieux ce démon qui est en moi. Oh, merci docteur Freud !"
"Mais de rien Madame".

samedi 5 janvier 2013

Billy, enfin te voilà !

Séisme ce matin. Quoi ? Vous n'avez pas senti la secousse ? Pourtant, elle était plutôt fameuse : mon Cher et Tendre me dit comme ça, tout de go : "on n'irait pas chez Ikea après-midi ?" Glup's ? Ai-je bien entendu ? (Pardon Karl ? Vous voulez que je sois l'égérie de votre prochaine campagne publicitaire ?) Il parle d'aller chez Ikea, un samedi, pendant les soldes. Ah ça lui, c'est tout ou rien. "J'ai congé début de semaine. On pourrait aller acheter la bibliothèque et je la monterai comme ça".


Ah bein ça, ah bein ça. Voilà que notre projet vieux de six ans prend le chemin de la concrétisation. Six ans que nos bouqins croupissent dans le grenier de la Grand-Mère et que ceux acquis depuis la fin de nos travaux s'entassent un peu partout dans la maison. Et moi qui ai tellement, tellement horreur du désordre (rions un peu).

Alors il faut dire qu'aller acheter un meuble chez Ikea avec un homme a de gros avantages. J'ai en effet en son temps acheté seule une bibliothèque (enfin, l'incontournablee meuble Billy de chez Ikea) et je dois dire que ce fut épique. Bien entendu, l'idée m'était venue subitement alors que j'étais au travail, en jupe et sabots à talons hauts (ma Secrétaire Particulière se demande encore comment je pouvais conduire avec ces trucs aux pieds).
Tout de go à 17h00, direction Ikea avec ma petite Ford Fiesta. Je trouve de l'aide pour mettre la grosse et lourde boîte sur mon caddie, je paye, je pousse mon lourd et encombrant caddie les bras tendus et les fesses en arrière tellement je dois forcer et de temps autre je me tord le pied. Ai-je l'air bête. Et arrivée devant ma petite Fiesta... Heu, comment je vais renter ça dedans ?
Rassurez-vous (je vous sens tous haletants face à un tel suspens), j'ai trouvé de l'aide pour charger et décharger la boîte devant chez moi, garée en double file. Pfffff. Je vous passe les détails du montage à la Wonder Woman qui veut tout, tout de suite et sans lire le mode d'emploi.

Donc, qu'il est doux de se laisser guider par un bras masculin et finalement de n'être vraiment utile que dans le choix du meuble et sa localisation. Pour la manutention... Je m'en remets tellement à mon Cher et Tendre que je ne prends même pas la peine de vérifier où nous sommes stationnés dans le (très) vaste parking Ikea d'Anderlecht (je retiens tout de même que nous sommes au rez-de-chaussée). Alors évidemment, quand nous sommes séparés par la foule à l'ascenseur ("vas-y déjà, je prends le suivant") et que je me retrouve dans la vastitude des lieux...
J'arpente les allées, c'est pas vrai mais c'est pas vrai ! Si je m'en remets côté pratique à mon Cher et Tendre, celui-ci compte sur mon organisation sans faille et n'a pas pris la peine de s'encombrer de son gsm. Où qu'il est mais où qu'il est ? J'arpente les allées, c'est pas vrai, mais c'est pas vrai ! Ah mais au fait (vague lueur de clairvoyance), vu que le magasin est à l'étage, peut-être bien que l'entrée est au milieu du parking... Et donc il y a deux portes d'entrée... Bein oui, il est certainement de l'autre côté (du bénéfice d'avoir fait des études).

"Youyou ! Chéri Chéri ! Me voilà ! J'étais perdue... Oh bein, tu as déjà tout chargé tout seul ? Mais il fallait m'attendre voyons !"

vendredi 4 janvier 2013

You can leave your hat on (part 2)

Voici, chers followers impatients - que dis-je, trépignants ! - la suite de mes aventures rocambolesque avec mon nouveau compagnon réticent : mon porte-jarretelle.

Vous qui lisez assidûment mon blog (n'est-ce pas ?) vous avez retenu que lorsque mon Cher et Tendre choisissait mon parfum... Flash-back comme dans les enquêtes policieres, souvenez-vous : " Pour se rafraîchir le nez, il a même fait une pause, mettant celle-ci à profit pour aller me chercher un deuxième cadeau". Un deuxième cadeau donc (personne n'a suivi mais c'est pas grave, je m'en fous, j'écris pour moi, pour mon plaisir).

D'ailleurs puisque personne ne suit, est-ce que ça vaut la peine que je relate ces fameuses aventures ? Allez quoi, suppliez-moi quand même un peu. Flattez-moi l'ego car je peux vous dire qu'ici, je mets mon orgueil de côté. 

Ce deuxième cadeau donc... Flash-back 2 : "Je pense que le haut du bas est un peu épais. Normalement c'est plus fin et donc les attaches sont plus faciles à clipser". 
Oui Columbo, bien vu. J'ai donc reçu une paire de bas pour porte-jarretelles ad hoc. Que dis-je ? La Rolls Royce du bas.Genre que t'imagines Rita Hayworth qui te mets ça clic-clic l'affaire est dans le sac. 

Pour faire honneur à mon présent et démontrer que désormais ma cuisse est l'hôte de marque préféré du porte-jarretelles, j'ai entrepris de surprendre mon Docteur Es-jarretière en m'harnachant moi-même et sans aide aucune.

Vous me voyez venir hein.
Faut croire que vous me connaissez bien.

Oh p... C'est fin ces trucs. À tous les coups je vais les filer. Passer du 70 deniers au voile de voile, c'est violent. Mais je peux le faire, je peux le faire. 
Les bas ok. Ça c'est fait. Hop, j'enfile mon porte-jarretelle. Clic j'attache, clac ça se détache, clic j'attache, clac ça se détache, clic j'attache, clac ça se détache. (Rita, où que tu sois, aide-moi). 
"Qu'est-ce que tu fais ? Tu ne viens pas dormir ?"
"Si, si Chéri Chéri, j'arrive"
Clic et clac. M'énerve, m'énerve. Première jambe ok. J'attaque la deuxième. J'ai chaud, l'eau me roule dans le dos"
"Qu'est-ce que tu fous ? T'avais pas déjà pris ta douche ?"
"Heu, si, enfin non. J'arrive !"
Bon, je reprends. J'enfile, clic j'attache et miracle, ça ne claque pas. Ça a l'air de tenir. Ouais, visez la pro ! Je me relève (je suis proche de l'hernie discale avec toutes ces conneries) et là... Impossible de déployer mon élégante silhouette si je ne veux pas que tout claque à nouveau. Non di dju, je lui avais pourtant bien dis que mes jambes mesurent 105 et pas 104 cm. Je le savais que j'avais raison. J'allonge un maximum les élastiques du porte-jarretelles et je me fais bien droite. Heu, Rita, c'est normal que mon porte-jarretelle m'arrive à mi-fesses ? Je suis pas super connaisseuse mais on dirait plutôt une mini-jupe non ? Tant pis, allons-y vaille que vaille
Ta la lalalala... You can leave your hat on
"Chéri, Chériiiiiiiii"
"Zzzzzz Zzzzzzz"

jeudi 3 janvier 2013

Lâchez les fauves...



Vous imaginez bien... 3 janvier... Les soooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooldes !!!
Comme je n'ai absolument presque rien dépensé cette saison (sans rire, j'ai été d'une sobriété étonnante) et que je n'ai presque plus rien à mettre (sans rire, non, non je suis très sérieuse. Allez quoi, si je vous le dis), je vous laisse deviner la suite...

Le seul problème est que je suis en congé. Congé = maison = enfants = temps de midi réquisitionné pour la tambouille (et pour le point de croix de mon aîné qui se passionne que ça en deviendrait presqu'inquiétant). Vivement lundi donc (je recommence à travailler, Tant'Mieux, à moi les soldes. Quand je vous dis qu'il y a du positif dans toute situation).

J'ai tout de même réussi une petite échappée cet après-midi car faire de bons soldes (héhéhé, je ne tombe pas dans le piège) demande un peu d'échauffement. Alors je commence gentiment par l'épicentre - ma petite ville - avant de me déployer, tel le rapace, pour rayonner de plus en plus large et de plus en plus loin, histoire de couvrir un territoire le plus exhaustif possible ("Allo ? Ah bonjour Madame, vous avez besoin de mon passage ? Rouvroy ? Tu rigoles, c'est la campagne là. Rien à se mettre sous la dent. Désolée mais j'ai des rendez-vous extrêmement urgents pour le moment. Il faudra patienter jusqu'au 1er février au moins).

Deux règles d'or pendant pour faire de bons soldes (je le replace que je sais que c'est masculin) :
- rien en dessous de - 50%
- rien que je n'aurais acheté à prix plein. "Quand même à ce prix là, je ne peux pas le laisser là" est un très mauvais réflexe à éviter. Même à 70%, si c'est pour rester dans la garde-robe, c'est du gâchis (dépensière mais pas gaspilleuse, rangaine connue)

Et donc j'ai déniché un petit pull qui ira fort bien avec mes gants je pense...


J'ai tout de suite été séduite par le petit détail qu'on ne distingue absolument pas, le logo "Terre Bleue" avec un petit brillant (dire que j'ai fait l'effort d'utiliser le gros appareil-photo plutôt que ma tablette histoire qu'on voit bien et que ça n'a servi à rien et que du coup, je suis encore là à écrire à 22h49, je vous épargne toutes les péripéties).

Le bienfait des soldes, c'est que ça vous encourage à sortir un peu de votre style habituel car "quand même à ce prix là, je ne peux pas le laisser là même si je ne l'aurais pas acheté à prix plein (du paradoxe de la shoppeuse lâchée en période de soldes : elle perd facilement sa capacité de raisonnement).

"John chéri, n'auriez vous pas vu mon rang de perles ? Je ne parviens pas à mettre la main dessus"
"Ne serait-il pas dans votre sac Chanel ma chère Jackie ?
"Mais oui ! Suis-je distraite !"